« Ce projet est né de mes rencontres avec une responsable d'association qui accueille des « primo arrivants », pour la réalisation d'un reportage photo dans le cadre de mes études. Une merveilleuse rencontre avec des femmes guinéennes et leurs enfants, qui se poursuit au-delà du travail scolaire.
Et, enfin, l'intérêt des responsables de l'association Form'Anim et du Centre Culturel pour que ce travail se prolonge en « toute liberté » autour de la vie de femmes en recherche d'identité. Ce projet de création, inespéré, m'apparaît comme un cadeau qui concrétisera et prolongera ces moments de bonheurs partagés, de questionnements que j'essaierai de focaliser au travers de mon regard objectif et/ou au travers d'objectifs que poseront mon regard.
Exposition visible du 1 er mars au 26 mars
Du mardi au vendredi
De 10 à 18h
Vernissage: le 1 er mars dès 18h30
Rejoignez sans tarder notre site internet, vitrine dynamique et pluraliste où vous côtoierez d'autres associations. Vi'a Seraing est ouvert à toutes les associations qui développent une activité à Seraing dans tous domaines. Vous ne vous retrouvez pas dans les rubriques actuelles ? Nous créerons la vôtre !
La consultation du site permet au surfeur de découvrir et de participer aux diverses activités proposées par les associations membres.
En cela, Vi'a Seraing est unique et productif !
Rejoignez-nous pour faire état de votre action, annoncer vos activités futures, relater vos manifestations, éditer des articles de fond.
Et aussi présenter vos besoins en volontaires et profiter de l'envoi d'une newsletter mensuelle. Un ensemble de services pour une modique somme de 20€/an.
Contactez-nous sur viaseraing@gmail.com
Le mercredi 26 février à 19h30
Au Leonardo da Vinci,
86 rue Cockerill à 4100 Seraing
François Scalzo raconte sa vie. Dans "Le train du Nord", il est le berger sicilien qui émigre pour se retrouver dans la mine et dans la sidérurgie. L'histoire reprend avec "Le train du Nord - suite" pour nous faire découvrir un parcours sans voiture, dans le cadre de Seraing.
Il s'engage dans le mouvement ouvrier chrétien italien et belge pour combattre l'esclavage salarié et les discriminations, il est révolté par l'injustice. Prônant le respect de l'autre, il œuvre au rapprochement des deux tendances principales au sein de l'immigration italienne, les chrétiens et les socialo-communistes.
L'art est également au rendez-vous. "Je n'aurais jamais imaginé pouvoir faire de l'art un jour, même si un ange m'était apparu pour me l'annoncer", écrit-il avec cet humour particulier. Il réussit à représenter avec un grand talent les valeurs qu'il a choisies; il peint la justice (l'injustice), la liberté (l'esclavage), la pollution, la menace nucléaire, la mine, la gare de Milan d'où partaient les futurs mineurs italiens de Belgique, le mariage du prêtre... A la prépension, cet amoureux de la terre, ce jardinier aux pouces verts, apprend à créer avec de la terre cuite. Il trouve sa voie en sculptant des hommes et des femmes au travail, sans fioritures, pour ne laisser apparaître que la posture spécifique du métier. Tous les anciens métiers sont remis à l'honneur: le mineur, le fondeur, le verrier, le boulanger, le glacier, le marchand de légumes, etc.
A travers son intervention dans les associations ouvrières, ses œuvres artistiques, son attitude vis-à-vis de la famille, ou même ses vacances, transparaissent les valeurs qui tiennent François debout: la soif de justice et le respect de l'autre. "Tout se résume en quelques mots : respecter l'autre", écrit-il en guise de conclusion.
Infos : 04/336.92.59 ou 04/336.60.17 - Entrée libre
Le vendredi 21 mars 2014
Rencontre citoyenne dans le cadre de la semaine contre le racisme
Au Leonardo da Vinci,
86 rue Cockerill, 4100 Seraing
18h30 Buffet du monde réalisé par Form'anim et Vie Féminine : saveurs épicées à prix démocratique.
19h30 Chorale « Les voix du Leonard » : un groupe de femmes issues de l'immigration italienne interprète des chansons populaires, de luttes sociales, et des mineurs.
20h Projection du documentaire « Incident à Oglala » (1991, 1h26'), de Michel Apted et Robert Redford.
Ce document évoque les incidents qui se sont produits à Pine Ridge, réserve indienne du Dakota du Sud où, un matin de juin 1975, une sanglante fusillade provoqua la mort de deux agents spéciaux du FBI et d'un Indien.
Léonard Peltier, militant amérindien est depuis lors incarcéré aux USA pour un crime qu'il n'a pas commis. Amnesty International mène depuis lors une campagne pour sa libération.
Infos : 04/336.92.59 ou 04/336.60.17 - Entrée libre
Form'anim organise également:
Le mercredi 5 mars 2014 à 18h30: Participation à la quinzaine "Femmes en état de guerre" :
Projection du film « Les Femmes du bus 678 », de Mohamed Diab (Egypte, 2010).
Le mardi 18 mars 2014 à 18h30 :
Projection de courts métrages dans le cadre du « Festival A Films Ouverts » : vote du public
Lieu: Salle du Papillon, Rue du Papillon, 47 à 4100 Seraing
Infos: 04/338.16.35
Invitation cordiale à l'occasion de la "Journée internationale des femmes
le mardi 4 mars 2014.
Salle "Les prés Saint Paul" rue Pré Saint Paul, 2 à Ramet (près de l'église)
Dès 9H: Petit déjeuner varié
Stand de la Bourse aux vêtements
A 10h: Spectacle des "Extrasystoles": Quel toit pour vieillir ?
Suivi d'un Pot pouri du groupe "Les Amies"
P.A.F. Libre mais solidaire
Un beau matin de printemps, Emilie reçoit une lettre d'amour, belle, inspirée mais anonyme. Elle la jette d'abord à la poubelle, avant d'y voir le moyen de sauver sa mère, isolée et triste depuis le départ de son mari. Sans trop réfléchir, elle la lui adresse aussitôt. Mais Emilie ne sait pas encore que c'est Jean, son employé timide, qui en est l'auteur. Elle n'imagine surtout pas que son geste les projettera dans une suite de quiproquos et de malentendus qui vont vite tous les dépasser...
Mercredi 12 février à 20H00 au Centre Culturel de Seraing
Film français de Pierre Salvadori, avec Audrey Tatou, Nathalie Baye, Sami Bouajila.
Nos spectacles de fin d'année auront lieu le 1er mai 2014 au Centre Culturel de Seraing pour la danse et théâtre enfants et les 20 et 21 juin 2014 au Centre Culturel René Delbrouck (Rialto) Ougrée pour le chant et Instruments.
Ce 17 décembre, Christophe Cap et Olena Kushnirenko, chargés des projets REMO et RECO à l'AREBS organisaient dans le cadre de l'Alliance-Emploi Environnement de la Wallonie une triple visite au cœur de l'habitat de Seraing. Les maisons Primo – du nom du projet qui vise à acquérir des maisons vétustes, à les rénover et à les vendre ou les louer pour le compte de la Ville de Seraing ou d'ERIGES – ont ouvert leurs portes sous la conduite de Roger Delarge, gestionnaire de chantiers chez ERIGES.
Les visiteurs, citoyens en cours de rénovation, curieux prêts à passer le pas, membres de la commission développement durable de la Ville de Seraing ont commencé la visite par une façade rue du Molinay. Direction ensuite rue Ferrer pour la transformation d'un immeuble à appartements en habitat durable. Cette rénovation ambitieuse entreprise avec des matériaux écologiques s'inscrit dans un projet pilote soutenu par la Ville de Seraing, la Province de Liège, la politique des Grandes Villes, le projet d'habitat durable du Ministre wallon du logement et le plan Marshall.
La visite s'est clôturée par un « cas pratique » : un appartement où tout reste à faire. Les visiteurs ont partagé leurs idées et posé leurs questions à Anne-Sophie Defoeux, responsable du
service Ecopack (crédit à 0% octroyé par la Région Wallonne pour des travaux visant à économiser de l'énergie). Le message est passé auprès des citoyens : on peut rénover avec peu de moyens tout en faisant des choix respectueux de l'environnement.
En mai 2014 nous serons amenés à voter au niveau régional, fédéral et européen. Autant dire que cette année s'annonce déterminante pour l'avenir du pays et de la Wallonie en particulier à travers de grands défis démographiques, économiques, fiscaux ou institutionnels qui nous concernent tous.
A cette occasion nous vous proposons 3 animations et des visites afin d'y voir plus clair sur le fonctionnement et les grands enjeux de ces élections.
Nos animations se veulent accessibles au plus grand nombre, proposant des informations rendues compréhensibles pour chacun en se basant sur la participation, l'opinion et les questions des participants.
Elles sont gratuites, d'une durée minimum de 1H30 et s'adressent à tous groupes de militants, publics d'association (insertion, OISP/EFT, services sociaux, jeunesse...) et ne nécessitent aucun prérequis.
Nous pouvons vous accueillir dans nos locaux de Seraing ou nous déplacer.
Contact : Wilfried Schleck (0498/86.74.63 - schleck@mocliege.org)
Le dépliant de présentation en téléchargement
Nous nous sommes retrouvé le 5 novembre à la Maison médicale pour une soirée-débat.
Eric Yvergniaux de l’ASBL « question santé » animait la soirée et nous a apporté un large choix de magazines féminins. Transposée dans les médias, l’image de la femme moderne est la suivante : « Une superwoman qui combine avec succès une carrière enrichissante, l’éducation des enfants, un look à la fois sexy et sophistiqué, des amitiés entretenues et, enfin, une vie amoureuse fabuleuse ».
Ces magazines partagent un certain nombre de caractéristiques :
- une présentation généralement très soignée
- un contenu qui répond le plus souvent aux trois impératifs suivants : distraire, informer et conseiller
- une volonté affichée d’accompagner et d’aider les femmes dans leur vie de tous les jours.
Leur contenu présente également plusieurs similitudes : des rubriques délivrant des conseils sur des thèmes considérés comme typiquement féminins (minceur, beauté, hommes, sexologie, cuisine, régimes, achats…)
La minceur est perçue et admise comme étant le critère principal de beauté. Paradoxalement, les mêmes magazines regorgent de recettes de cuisine incitant à manger, à préparer des mets choisis pour la famille, les amis, etc.
Des conséquences sur les femmes ? Elles peuvent-elles se sentir déprimées car il n'est pas simple de devenir une femme parfaite suivant les critères des magazines.
La présence massive des annonces publicitaires dans les magazines féminins pose également de nombreuses questions. Les femmes sont les principales responsables des achats du ménage. Elles sont responsables des 70% des achats dans la vie de tous les jours. Les annonceurs s’adressent avant tout à des consommatrices potentielles. Les femmes qui n’achètent pas de magazines sont-elles épargnées par cette avalanche publicitaire ? On feuillette énormément dans les salles d’attente de médecins, dentistes, salon de coiffure. Or pour beaucoup d’annonceurs, feuilleter un magasine n’est pas anodin. Pour les magazines, les annonceurs publicitaires représentent des rentrées considérables d’argent et sont en mesurent d’exercer une certaine pression, tant sur le choix des articles rédactionnels que publicitaires.
La presse magazine féminine, comme les autres médias, est assez symptomatique de l’époque et de la société modernes. Elle renvoie une image de la société qui est loin d’être égalitaire.
C’est à la société de continuer à lutter contre les discriminations pour plus d’égalité entre les femmes et les hommes. Mais aussi à combattre les comportements sexistes et machistes qui continueront à reléguer les femmes dans l’ombre, au second plan, dans les maisons, peu encouragées à occuper l’espace public.
Romance historique de Nikolay Arcel
Danemark 1770. La passion secrète que voue le reine Caroline Mathilde au médecin du roi va changer à tout jamais le destin de la nation toute entière. Royal affair relate une page capitale de l'histoire danoise. La relation amoureuse et intellectuelle entre la reine et le médecin, fortement influencée par les philosophes des Lumières, Rousseau et Voltaire en tête, conduira au renversement de l'ordre social établi. Elle annoncera les révolutions qui embraseront l'Europe vingt ans plus tard.
Histoire vraie d'un homme ordinaire qui gagne le coeur d'une reine et démarre une révolution.
VO sous-titré bilingue.
Avec Mads Mikkelsen, Alicia Vikander, Mikkel Boe Folgaard.
Quand: Les mardis 21 janvier - 4 février et 18 février 2014.
de 9H à 12H
Où: Au local de Vie Féminine, rue Goffart, 23 à Seraing
Pour qui: Ce dossier pédagogique s'adresse à toutes les animatrices.
Pourquoi EPF ? Qu'est-ce que c'est ?
L'éducation permanente féministe est une méthode globale avec une histoire, des objectifs et des moyens.
Cette méthode nous donne des perspectives communes basées sur notre histoire d'Education permanente et sur notre option féministe.
Elle permet également de renforcer nos pratiques des enjeux nés plus récemment et validés lors de notre congrès en 2010, par exemple la lutte contre les trois systèmes de domination que sont le patriarcat, le racisme et le capitalisme.
Vie Féminine vise donc la transformation de nos pratiques actuelles d'animation vers l'éducation permanente féministe.
Inscription indispensable pour le 18 janvier au bureau: 04/336 17 82 ou Myriam : 04/ 337 59 20
Vie Féminine vous invite à l'Exposé - échange avec un travailleur social de
l'Asbl "Icar-Wallonie" qui est axée sur la connaissance du milieu de la prostitution
et sur une prise en charge de ses problèmes socio-médicaux.
Quand: le lundi 27 janvier 2014 de 9H à 12H.
où: Au local de Vie Féminine Rue Goffart, 23 à Seraing
L'expression «génération sandwich» décrit les personnes qui sont prises en sandwich entre les besoins de leurs parents vieillissants et ceux de leurs enfants.
Programme:
Diffusion d'un reportage alliant témoignages, informations, émotions et humour.
Suivi d'une discussion en toute convivialité:
« Quels aménagements pourraient être réalisés pour les soutenir? »
Atelier animé par Jean-Marie Hansoulle
Film franco suisse en version française de Ursula Meier.
Simon, 12 ans, emprunte l'hiver venu la petite télécabine qui relie la plaine industrielle où il vit seul avec sa soeur Louise, à l'opulente station de ski qui la surplombe. Là-haut, il vole les skis et l'équipement des riches touristes qu'il revend ensuite aux enfants de son immeuble pour en tirer de petits mais réguliers bénéfices. Louise, qui vient de perdre son travail, profite des trafics de Simon et devient de plus en plus dépendante de lui...
Avec Léa Seydoux, Kacey Mottet, Martin Compston
Le lavoir social a déménagé en juin dans un local spacieux, rue de Boncelles 105 à Ougrée. Cet espace chaleureux et lumineux, qui est un lieu d'écoute et de partage, a accueilli le mercredi 18 décembre parents et enfants pour un après-midi festif. Un atelier de dessin, un coin lecture pour enfants et une grande table de dégustation pour un goûter multiculturel ont donné une fois de plus l'occasion de favoriser le dialogue, l'écoute et l'esprit de solidarité.
Lorsque vous passez rue de Boncelles, n'hésitez pas à entrer dans notre lavoir juste pour échanger quelques mots, demander un conseil prendre des informations sur les activités et services proposés, vous asseoir et boire une tasse de café !
Luttes sociales et actions politiques Le Mouvement ouvrier chrétien de Liège-Huy-Waremme de 1850 à 1980
Pour retracer l'histoire du Mouvement Ouvrier Chrétien des régions de Liège, Huy, Waremme depuis ses origines au XIXème siècle jusqu'aux années 1980, l'équipe du CARHOP, sous la direction de Florence Loriaux, est partie à la recherche des sources de l'histoire ouvrière. Cet ouvrage veut dresser un portrait des luttes et des revendications, des victoires et des défaites que les travailleurs chrétiens et leurs familles ont connues dans des régions aux caractéristiques politico-socio-économiques très différentes. C'est aussi l'histoire des hommes et des femmes, qui, engagés au sein du Mouvement, oeuvrent pour une société plus juste, plus sociale, plus humaine...
Si vous souhaitez en savoir plus et commander cet ouvrage :
04/232.61.61 ou info@mocliege.org
Prise en sandwich entre des parents (Agnès Jaoui et Denis Podalydès) qui la gavent d'amour et de boulettes, Rachel, 9ans, compte les minutes qui la séparent de la liberté. Jusqu'au jour où son chemin croise celui de l'intrépide Valérie ... et de sa jolie maman célibataire (Isabelle Carré), qui va indirectement remettre un peu de vie et de piment dans le couple fatigué de ses parents.
Henri vient de perdre sa femme après 40 ans de vie commune. Ils tenaient un hôtel dans la campagne belge. Henri est dévasté au point de ne pas assister aux funérailles. Pour Dominique, Ludovic et Louis, ses 3 enfants, il faut vendre l'hôtel et recommencer une nouvelle vie, loin du souvenir de leur mère. Sans affronter ni partager la douleur de leur père, ils prennent les choses en main. Mais l'arrivée d'Alice, une jeune femme enceinte de 8 mois, va chambouler leurs plans. Henri rouvre l'hôtel pour elle et, puisqu'il n'arrive pas à parler à ses enfants, en fait sa confidente.
Ce film belge est l'histoire d'un deuil. Sur un thème assez académique, Géraldine Doignon nous raconte une histoire susceptible, oui, de titiller chacun. Car, comme certaines chansons d'amour, celle-ci a sa petite musique intérieure. Entre les éléments du décor qui parlent à demi-mots, certains acteurs à même d'étonner par leur naturel et les symboles utilisés pour donner à l'ensemble quelque chose d'universel (l'arrivée de la jeune femme enceinte dans la bâtisse imprégnée par le temps et la mort), De leur vivant vous restera même en mémoire.
Pour clôturer la première saison 2013 de son ciné-club, l'Asbl Form'Anim a choisi de diffuser Et maintenant on va où? , deuxième long-métrage de la réalisatrice libanaise, Nadine Labaki. Ce film qui part d'une question et une ode à la paix sur fond de conflits religieux. Il part du principe qu'il ne tient parfois qu'à nous, qu'à notre propre volonté, d'arrêter les conflits.
Mais comment faire baisser les armes? C'est la question que vont se poser les femmes d'un même village, issues de toutes religions. Elles vont s'unir et inventer des stratagèmes pour faire passer aux hommes l'envie de se battre et surtout pour leur faire oublier leur différence.
A l'heure des fêtes de fin d'année, des multiples messages de paix mais aussi de l'augmentation de comportements d'intolérance, ce film vient à point nommé. Il nous parle de conflits religieux, toujours d'actualité, mais nous questionne aussi sur d'autres luttes : celles des femmes qui se battent pour un monde meilleur : plus tolérant, plus égalitaire et plus juste. Un film sensible, à la fois drôle et émouvant, à voir sans modération!
18h30 : accueil et verre de l'amitité
19h15 : début du film
Petite restauration après le film
Lieu : Salle du Papillon (rez-de-chaussée de Form'Anim - 47 rue du Papillon à Seraing)
Entrée gratuite